Elève
Messages : 13 Date d'inscription : 17/03/2020 Classe : 2nd 9
| Sujet: Travail Julie et le prêtre Lun 6 Avr - 16:07 | |
| Dans cet extrait la marquise se plaint de la place que les femmes ont dans la société. Tout d’abord le prêtre dis à la marquise que la liberté n’existe pas qu’elle « obéit aux uns et aux autres ». Il compare aussi la « loi » à la « parole » et les « usages » aux «actions de la société ». La marquise n’est pas d’accord avec le prêtre et on le vois avec la question réthorique « obéir à la société ?» qui montre qu’elle trouve que se que le prêtre dit est totalement stupide. Elle dénonce le faite que se soit à cause de la société qui provoque ces « maux ». Pour elle se serait les « hommes » qui aurais « faussé son œuvre. Elle essaye de dire que l’homme se permet de modifier certaines lois pour leur plaisir et le envies. Alors que les femmes ont déjà des « peines physiques » naturel en parlant de l’accouchement , la société en rajoute bien plus. Ainsi la société garde les pauvres pour leur avantages et les laissent dans leurs malheurs alors que la loi de la nature les auraient libérés de se poids en les faisant disparaître rapide pour pas qu’ils ne souffre trop. Elle aborde après le sujet du mariage qui est pour elle une grande souffrance. Elle commence par évoquer l’inégalité entre l’homme qui a la « liberté » et la femme le « devoir ». Pour Julie le mariage à son époque serai de la « prostitution légale » car la femme est un objet pour l’homme, elle dois être la pour les envies et demande de son mari et elle elle gagne un foyer où dormir et manger mais pas plus. Les mariages de l’époque ne sont pas basés sur l’amour mais pour les intérêts. Elle se confie au prêtre en lui disant que tous ses malheurs viennent de son mariage avec Victor. Julie se trouve au milieu de ses enfants qui viennent en partie de ses adultères se qui l’oblige à garder le « silence ». Et comparer au autre qui ne choisissait pas leur mariage elle a pu le choisir s’est pour cela qu’elle dis qu’elle est « la seule auteur du mal ». Sa confrontation avec le prête l’aura beaucoup chamboulé car elle versa des « larmes » mais fini par rester silencieuse. |
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