La femme de 30 ans

Nous allons maintenant analyser chaque titre de chaque chapitre et comparer avec la problématique de la séquence. (Comment la littérature représente-t-elle la femme dans nos sociétés ?)

Chapitre 1 : Premières fautes
Dans la 1er chapitre Julie rencontre Victor d’Aiglemont et se met en couple avec malgré la contradiction de son père mais on apprend plus tard Victor et violent avec Julie. C’est donc une de ses premières fautes.
Elle rencontre aussi Arthur qui va devenir son amant ce qui à l’époque était inimaginable. C’était une relation extraconjugale. Encore une faute.

L’écrivain à voulu nous montrer de que le mariage n’est pas une simple union. Il a aussi voulu nous montrer que les jeunes filles de l’époque était très vite attirées par un physique, une catégorie de « vie » ou même encore par un uniforme. Mais que malheureusement e n’est pas cela qui fait la réussite d’un couple ni le bonheur.

Chapitre 2 : Souffrances inconnues
Dans ce deuxième chapitre les souffrances inconnus sont :
Suite à la mort d’Arthur qui a engendré le désespoir de Julie, elle part donc vivre à la campagne avec sa fille, mais elle ressent un tel dégoût pour son mari, qu’elle commence à le ressentir aussi sur sa fille.

Dans ce roman Balzac représente à partir de maintenant Julie comme une femme désespérée à cause de l’amour, qui souffre énormément jusqu’à oublier son rôle d’adulte, et de mère.

Chapitre 3 : A trente ans
Julie dans ce troisième chapitre a maintenant 30 ans, elle ne se remet toujours pas de la mort d’Arthur, elle est désespérée. Jusqu’au jour où elle rencontre un homme du nom de Charles de Vandenesse qui devient son nouvel amant, Julie reprend à nouveau espoir mais aussi confiance. Elle a de nouveau une relation extraconjugale.

« 30 ans » c’est l’âge ou les femmes se sentent bien, au meilleur moment de leurs vies. Julie est représentée comme une séductrice, mais aussi comme une femme ayant le pouvoir sur un homme. Et nous en avons la preuve par Charles qui renonce à son voyage pour rester aux cotés de Julie.

Chapitre 4 : Le doigt de Dieu
L’amour de Julie et Charles à porté ses fruits car en effet ils ont eu un enfant. Un jour lors d’une balade en forêt, Helene qui était jalouse du nouvel enfant de sa mère décida de le pousser à l’eau. Ce titre s’appelle « doigt de dieu » car le doigt d’Helene est représenté par le doigt de dieu.

La mort de son enfant est encore un passage tragique de la vie de Julie qu’elle doit à nouveau surmonter. Balzac fait cela pour montrer qu’une femme peut être forte et avoir énormément de courage.

Chapitre 5 : Les deux rencontres
Dans ce cinquième chapitre les deux rencontres sont celle d’Hélène et d’un inconnu.
Un soir où Hélène était dans sa chambre quelqu’un frappa à la porte de la maison du marquis. C’était un meurtrier. Il cherchait un endroit où se cacher pour seulement quelques heures. Hélène tomba alors amoureuse de cet homme.

Dans ce chapitre Balzac a voulu parler d’abandon car effectivement, nous voyons une autre partie d’Hélène. Elle abandonne ce que son père lui a appris, elle passe outre des règles de la société qu’elle est sensée respecter.

Chapitre 6 : La vieillesse d’une mère coupable
Dans ce dernier chapitre, Julie mourra de culpabilité.
Car en effet sa propre fille Moina était marié à un homme riche jusqu’au jour où elle aussi eu une relation extraconjugale avec un homme du nom d’Alfred de Vandenesse qui était en réalité son demi-frère. Sa mère la mise en garde sur ce genre de relation mais sa fille ne l’écouta pas. C’est comme ça que mourra Julie.

Dans se dernier chapitre Balzac décrit Julie comme une femme abattue, totalement malheureuse qui se sent coupable de tout ce qu’elle a pu faire, jusqu’au point de mettre fin à sa vie.

Attention, tu portes parfois un jugement dans ton analyse !

Un bon travail dans l'ensemble, malgré quelques erreurs ou imprécisions :

- Arthur n'est pas l'amant de Julie : il meurt avant de le devenir, ils ont seulement une relation platonique.

- Ce que l'auteur dénonce, c'est surtout les souffrances d'une femme prisonnière de son mariage. Julie souffre énormément à cause de la société qui lui impose ce mariage. Il n'y a pas que la facette de la femme adultère, de la femme coupable, mais il y a aussi la femme victime qui est soumise et prisonnière de son mari.

- La mort de Charles, fruit de l'adultère, semble être une punition divine : pour la punir de son péché, son enfant meurt de la main (du doigt) de son autre enfant.

Tu trouveras la correction ici : https://vdsalamaison.forumactif.com/t8-iv-le-roman-structure-et-publication