Ex 1 à 7 p. 270-271

1) a) interrogation totale
b) interrogation partielle
c) interrogation totale
d) interrogation totale
e) interrogation partielle

2) a) non, il ne s’agit pas d’une interrogation
b) oui, il s’agit d’une interrogation
c) non, il ne s’agit pas d’une interrogation
d) non il ne s’agit pas d’une interrogation
e) oui il s’agit d’une interrogation

3) a) Dans le cas des phrases b) - c) – e), on peut considérer ces interrogations comme familière en raison du fait qu’il n’y a pas d’inversion sujet-verbe.
Dans le cas de la phrase a), on peut la considérer comme familière en raison du fait qu’il y a une répétition du pronom interrogatif « qui ».
Enfin, dans le cas de la phrase d), on peut la considérer comme familière en raison du fait qu’elle ne comporte pas de verbe.

b) a- courant : Qui a-t-il pris mon stylo
soutenu : Qui a-t-il usurpé mon stylographe ?
b- courant : Où es-tu parti ?
soutenu : Où as-tu plier bagage ?
c- courant : Comment allez-vous vous y prendre ?
soutenu : Comment comptez-vous vous acquitter de cette tache ?
d- courant : C’est vrai ?
soutenu : Cela correspond-il réellement à l’état actuel des choses ?
e- courant : Quand est-ce que tu viens ? soutenu : Quand te représenteras-tu à nouveau à nous ?

4) Cette question est une interrogation alternative ; dans son adresse, elle questionne un choix caractérisé par la présence de la conjonction de coordination « ou ».

5) a) Dans ce texte, nous trouvons un grand type d’interrogation étant l’interrogation directe, comprenant en lui-même plusieurs autres types d’interrogation : une question rhétorique « Colonisation et civilisation ? », une interrogation partielle « qu’est-ce en son principe que la colonisation ? », et deux interrogations totales « « la colonisation a-t-elle vraiment mis en contact ? » « de toutes les manières d’établir le contact, était-elle la meilleure ? ».

b) L’auteur se pose des questions qui servent de base à sa réponse et donc à son argumentation. De plus, il met en lien les questions les unes avec les autres afin de mettre en avant le ridicule de certains questionnements.

6) a) b) « Où courir ? » / « Où ne pas courir ? » / « Lequel ? » / « Qui ? » / « Où vais-je ? » / « Où suis-je ? » / « Qui suis-je ? » / « Qu’est-ce ? » / « Pourquoi riez-vous ? » « Dis-moi donc, qui est-ce qui l’a ? » / « Et qu’ai-je à faire de la vie, à présent que j’ai perdu un si beau trésor, que je gardais avec tant de soin ? » sont des interrogations partielles.
« dis ; aucun d’eux ne l’a prise ? » est une interrogation totale.

c) Plaute utilise l’interrogation comme un procédé comique ; en effet, à la ligne quatre, il pose trois interrogations partielles qui constituent dans leur ensemble une gradation révélatrice de la détresse du personnage, tournée quelque peu en dérision. Dans la majeure partie du texte en général, les interrogations sont faites pour accentuer la détresse du personnage, qui est tourné en ridicule, ainsi à la ligne 2 « Qui ? Lequel ? ».

7) a) Les interrogations directes de ce texte sont : « Qui suis-je ? » - « Que fais-je ? » - « Voulez-vous connaitre mon caractère ? »

b) Les interrogations indirectes de ce texte sont : « Vous voudriez bien savoir qui je suis, ce que j’ai fait, ou ce que je fais, reprit Vautrin. » - « Ecoutez-moi d’abord, vous me répondrez après. ».

c) « Qui suis-je ? » ----˃ « Je lui demande s’il sait qui je suis. »
« Que fais-je ? » -----˃ « Je lui demande s’il sait ce que je fais. »
"Voulez-vous connaitre mon caractère ? » ----˃ « Je lui demande s’il veut connaitre mon caractère. »

d) Ces phrases peuvent être le signe d’un certain égocentrisme du personnage.