Exercice 1 :
a. Dans cette phrase, l’interrogation est totale. Elle porte sur l’ensemble de la phrase et appelle une réponse par oui ou par non.
b. Dans cette phrase, l’interrogation est partielle. Elle porte seulement sur une partie de la phrase.
c. Dans cette phrase, l’interrogation est totale. Elle porte sur l’ensemble de la phrase et appelle une réponse par oui ou par non.
d. Dans cette phrase, l’interrogation est totale. Elle porte sur l’ensemble de la phrase et appelle une réponse par oui ou par non.
e. Dans cette phrase, l’interrogation est partielle. Elle porte seulement sur une partie de la phrase. Nous pouvons le voir avec la présence de « pourquoi ».
Exercice 2 :
a. La première phrase est une interrogation. Elle est indirecte. En effet, la phrase comporte une subordonnée interrogative indirecte introduite par un pronom « qui ».
b. La deuxième phrase est une interrogation. Elle est indirecte. En effet, la phrase comporte une subordonnée interrogative indirecte introduite par un adverbe interrogatif « comment ».
c. Cette phrase est n’est pas ne interrogation.
d. Cette phrase est n’est pas ne interrogation.
e. La phrase est une interrogation. Elle est indirecte. En effet, la phrase comporte une subordonnée interrogative indirecte introduite par un adverbe interrogatif « si ».

Exercice 3 :
1. Ces interrogations peuvent être considéré comme familières. En effet, leur forme son similaire à une phrase déclarative.
2. a) Forme courante : Est-ce que tu as pris mon stylo ?
Forme soutenu : As-tu pris mon stylo ?
b) Forme courante : Où est-ce que tu es partis ?
Forme soutenu : Où es-tu parti ?
c) Forme courante : Comment est-ce que vous allez vous y prendre ?
Forme soutenu : Comment allez-vous vous y prendre ?
d) Forme courante : Est-ce que c’est vrai ?
Forme soutenu : Est-ce vrai ?
e) Forme courante : Quand est-ce que tu viens ?
Forme soutenu : Quand viendras-tu ?

Exercice 4:
Cette interrogation est sous forme alternative. Elle offre un choix entre deux termes coordonnés par « ou ».

Exercice 5 :
a. L’auteur utilise :
• une interrogation directe non verbale
• une interrogation totale
• une interrogation alternative
b. L’auteur utilise l’interrogation pour exposer son sujet et le traiter.

Exercice 6 :
a. Dans le texte, on trouve différentes interrogations :
• « Où courir ? » interrogation directe et partielle
• « Où ne pas courir ? »  interrogation directe et partielle
• « Qui ? »  interrogation directe et partielle
• « Lequel ? »  interrogation directe et partielle
• « Où vais-je »  interrogation directe et partielle
• « Où suis-je ? »  interrogation directe et partielle
• « Qui suis-je ? »  interrogation directe et partielle
• « Qu’est-ce ? »  interrogation directe et partielle
• « Pourquoi riez-vous ? »  interrogation directe et partielle
• « aucun d’eux ne l’a prise ? »  interrogation directe et totale
• « qui est-ce qui l’a ? »  interrogation directe et partielle
• « Et qu’ai-je à faire de la vie, à présent que j’ai perdu un si beau trésor, que je gardais avec tant de soin ?»  interrogation indirecte et partielle
c. Plaute utilise l’interrogation comme un procédé comique. En effet, le surplus d’interrogation directe ridiculise le personnage. De plus certaine interrogation montre la démence du personnage.

Exercice 7 :
a. Les interrogations directes du texte sont :
• « Qui suis-je ? »
• « Que fais-je ? »
• « Voulez-vous connaître mon caractère ? »
b. Les interrogations indirectes du texte sont : « Vous voudriez bien savoir qui je suis, ce que j’ai fait ou ce que je fais. »
c. Transformation des interrogations directes en propositions subordonnées interrogatives indirectes :
• « Qui suis-je » qui je suis
• « Que fais-je » ce que je fais
• « Voulez-vous connaître mon caractère ? » à vous voudriez connaître mon caractère
d. Ces phrases relèvent que le personnage a une grande maîtrise de la langue. Il s’amuse à manier et à alterner les questions directe et indirecte pour perturber son interlocuteur. Son interlocuteur ne sait donc plus comment et quelles questions il doit poser.