1p 240

a) C'est une interrogation totale
b) C'est une interrogation partielle
c) C'est une interrogation totale
d) C'est une interrogation totale
e) C'est une interrogation partielle

2p 271

a) non
b) oui, C'est une interrogation indirecte
c) non
d) non
e) oui, C'est une interrogation indirecte

3p 271

a) Qui est-ce qui m'a pris mon stylo ? Il y a la répétition de "qui" donc familière
courant : Est-ce que quelqu’un a pris mon stylo ?
soutenue : Quelle est la personne qui m'a pris mon stylo?

b) Où c'est que t'es parti ? Il y a l’inversion du est-ce que : « c’est que » donc familière
courant : Où est-ce que tu et partis ?
soutenu : Où es-tu partis ?

c) Et vous allez vous y prendre comment ?  "comment" est placé en fin de phrase.
courant : (Et) Comment est-ce que vous allez vous y prendre ?
soutenu : (Et) Comment vous y prendrez-vous ?

d) Ah bon ? L’absence de verbe et l’interjection familière « Ah »
courant : Est-ce que c’est vrai ?
soutenu : Est-ce vrai ?

e) C'est quand que tu viens ? La syntaxe incorrecte de la phrase est incorrect
courant : Quand est-ce que tu viens ?
soutenu : Quand viens-tu ?

4p 271

Selon moi cette phrase est une phrase interrogative direct car on retrouve un point d'interrogation à la fin et il y a aussi une inversion du sujet. De plus la phrase propose deux alternatives grâce à "ou".

5p 271

"Colonisation et civilisation ?" : interrogation directe, totale, phrase non verbale. Permet à l’auteur de réfléchir sur le lien entre les deux.

"qu'est-ce en son principe que la colonisation ?" : interrogation directe, partielle et rhétorique puisqu’il y répond lui-même.

"la colonisation a-t-elle vraiment mis en contact ?": interrogation directe, partielle.

"Ou si l’on préfère, de toutes les manières d'établir le contact, était-elle la meilleure ?" : interrogation directe, totale.


6p 271

« Où courir ? Où ne pas courir ? »: interrogations directes partielles
« Qui ? Lequel ? » : interrogations directes partielles
« Où vais-je ? Où suis-je ? Qui suis-je ? » : interrogations directes partielles
« Qu'est-ce ? Pourquoi riez-vous ? » : interrogations directes partielles
« aucun d'entre eux ne l'a prise ? » : interrogation directe totale
« Qui est-ce qui l'a ? » : interrogation directe partielle
« Il n’y a pas de mortel qui ait éprouvé un pareil désastre. » : interrogation indirecte  
« Et qu'ai-je à faire de la vie, à présent que j'ai perdu un si beau trésor, que je gardais avec tant de soin ? » : interrogation directe partielle

Plaute utilise les interrogations comme un procédé comique, car toutes cet enchainement de questions permet de renvoyer à l'image d'un personnage pathétique qui se perd dans ces pensées. Ces interrogations permettent donc à Plaute de faire d’Euclion un personnage comique qui suscite le rire.

7p 271

Interrogations directes :
« Qui suis-je ? » > vous voudriez bien savoir qui je suis.
« Que fais-je ? » > ce que je fais.
« Voulez-vous connaitre mon caractère ? » > vous voudriez savoir quel est mon caractère.

Interrogations indirectes :
« Vous voudriez bien savoir qui je suis, ce que j'ai fait, ou ce que je fais »

Toutes ces interrogations montrent selon moi que le personnage créé par Balzac est une personne calme mais qui peut vite s'énerver. En effet on comprend que si quelqu'un l'embête il devient "comme le diable". C'est une personnage instable.